Full text: Almanach des dames (1810)

(27) 
3 
À LA 2 . 
-- 4 L'IIIEËRE. 
S UR tes rives , charmante Hière, 
Vois- sans trouble, ainsi que tes flots, 
Couler les jours d’un solitaire 
Qui te demande le repos. 
Que ce champ que ton cours féconde 
Soit pour moi les burnes du monde , 
Eoit pour moi l'univers entier. 
Loin des mortels et du mensonge , 
Que mon esprit jamais ne songe 
Qu’à ce saule, à ce peuplier 
Qui couvre ton eau vagabonde ! 
Assez ton bord hospitalier 
De grâce et de fraicheur abonde. 
Ah! s’il se peut, prête à ton onde 
La vertu de faire oublier. 
M. Ducs.
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.