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En des jeux fatigans ils consument levrs nuits ;
Et leur triste borheur est de changer d’ennvis.
Heureux qui d° 7 ‘>= resnirant ton charmes,
Va surprendre l’aurore … ses premi*ves larmes !
Et d’un pied matineux effenrant le gazon,
De l'oiseaz qui s’éveille entend le premier son !
Ah! viens, que, près de ioi, cueillant la fleur naissante,
J’en pare ton beau sein, 6 ma fidelle amante !
Ou, d’un nid que la feuille à peine couvre encor,
Je pose à tes genoux le frèle et doux trésor 3
Et la timide mère, inquiète, éperdue,
Qui le protége encor de son aile étendue !
Mais j'entends les regrets du père et de l'époux,
O ma Fanny ! cédors à des regrets si doux:
Ah! remetions ce nid dans son palais mobile.
Croissez , petits oiseaux , goûiez un sort tranquille!
Que jamais l’épervier, ni l'autour ravisseur
Ni le plomb criminel Izncé par L: chasse.
N’abrégent de vos jours l'iunocente das
Et ne fasse géinir uue mère énlor
L… EREN