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On lui parlr * donc ainsi que tn nous laisses!….
» Mais t. tonne À penser les caresses !
Erunon par” ! qu’on lui fait,
Tel au r+-— À le reconnoît.
: 1 faut © ‘en au > reparie encore;
» À peine 25" > Lambrai serai-ie avant l'aurore ;
» Je crŸ- ‘» ’êter mes amis, ma maison »…
—« Oui, L.. lL —illageois, oui , vous avez raison ;
» On pleureroit aMeurs, quand vous séchez nos larmes :
» Vous êtes tant aimé ! Prévenez leurs alarmes !
» Mais comment retourner À car vous êtes bien las !
» Monseigneur , permetiez… nous vous offrons nos bras
» Oui , sans vous fatiguer, vous ferez le voyage ».
D'un peuplier voisin on abat le branchare.
Mais le bruit an hameau s’est déjà répandu
Mouseigneur est ie Chacun est accousu ;
Chacun veut le servir T:e bois et de ramée
Une civière agreste aussitôt est formée,
Qu'’on tapisse partout de fleurs » d’herbages frais
Des branches au-dessus s'arrondissent en dais ;
Le bon prélat s’y place , et mille cris de joie
Volent au loin; l'écho les double et les renvoie.
QG) Nom du chien d'Ulysse,