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(5) Perrefixe dit qu’il alloit visiter Sully à l’Arsenal (page
492). J'ai Cru pouveir donner un autre motif à sa sortie.
(6) Dans sa voiture étoient le duc d’Epernon, le duc de
Monibazon , le maréchal de Lavardin , Roquelaure , La-
force, Mirebeau et Liancourt, premier écuyer. Quelques va-
lets de pied les suivoient (p. 423). Je n’ai point parlé de ceite
petite suite pour donner plus d’effet à mon morceau, persuadé ,
avec Boileau, qu’un poëte épique ne doit pas imiter l’exacti-
tude d’un maigre historien.
(7) L’assassin porta trois coups de poignard ; le second avoit
déjà tué le roi ; le troisième ne porta que dans la manche du
duc de Montbazon. J'ai écarté ce dernier trait qui eût refroidi
le passage ; j'ai mieux aimé peindre l’acharnement tranquille
du meurtrier sur le cadavre de son prince. (P. 424).
(8) Aprèscela il ne se soucia point de s'enfuir, ni de cacher
son Couieau ; mais il se tini là comme pour se montrer et #e
rlorifier d'un si bel exploit. (P. 424).
(9) Fous ces déiails soni historiques,
qui précède la comparaison. (P. 426).
excepté le dernier trait