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rage.
On a très-judicieufement rapporté les cau-
fes principales des épizooties, non-feulement
à la conftitution de l’air, mais aux vices des
chofes dont l’ufage étoit commun entre les be-
ftlaux ; & parce que ces maladies fe manife-
{tent toujours avec des flgnes de putridité dans
les voies de la digeftion, on les a attribuées
particulièrement aux alimens , aux eaux cor-
rompues, aux pâtures fur lefquelles certains
météores avoient agi, & enfin aux fourrages
échauffés ou chargés de pouffiere , d’infee-
tes, &c. ; mais il eft étonnant que l’on n’ait
pas reconnu que cette difpofition des greniers
en étoit la caufe la plus a&live & la plus fré-
quente. Il eft donc néceilaire de fupprimer
toutes claires-voies dans les cloifons ou plan-
chers qui féparent les greniers des écuries,
étables, bergeries , toits à porcs, latrines, dé-
pôts de fumiers, celliers, magafins de cuirs,
& de tous atteliers qui produifent une odeur
quelconque. Cette fuppreffion renferme auffi
celle des trappes, des efcaliers, de toutes au-
tres communications intérieures, & il faut en
pratiquer par les dehors.
Cette obfervation doit porter auffi fur les
—— Lu
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