Full text: Petites affiches de Cassel (Second Abonnement, No 1-152, 1784-1785)

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de l’Impératrice; ils veulent s’exprimer, & ne 
peuvent que verfer des larmes : mais combien 
l’admiration & l’attendriffement redoublent, 
lorfqu’on entend le Payfan s’écrier : Ÿe l'aimois 
éperduement ; je Jerois mort de douleur fi notre 
mariage avoit été annullé ; mais j'euffe expiré 
avec une forte de fatisfaëtion : j'avois rempli 
mon devoir ; je ne me diffim:ulois pas que je ne 
fuis qu’un efélave; € Madame, (s’adreflant à 
l’Impératrice ) que votre Majefié juge de mon 
bonheur : je fuis aimé. À ces mots, Alexis & 
Profcavia tombent dans les bras l’un de l’autre, 
en foudant en larmes, &c. Enfin on fcelle leur 
union avec toutes les formes prefcrites par ia 
Religion & les Loix, & tous deux jouiffent du 
bonheur le plus pur & le mieux mérité. 
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On a inventé un nouvelle conftruGion de lam- 
pes, qui éclairent infiniment mieux & confom- 
ment moins d'huile. On enfeigne la manière 
d’en faire ufage. S’adreffer au Bureau. 
Re. 
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Il y a eu hier bal mafqué & illumination à 
l’Orangerie. Cette fête a été des plus brillantes, 
depuis long-temps la Foire de Caffel, n’avoit 
réuni autant de monde. 
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Un Anglois a inventé une machine avec la 
qu’elle on fépare une peau de mouton ou de 
veau en deux parties de manière que l’une fert 
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