2
——_
démontrerois. Je vous obferverai feulement,
qu’un papier public ne devroit jamais annon-
cer que des faits éxaéts & certains, principa-
lement, quand ils font de cette importance,
& envers. un Corps auffi refpe&table à tous
égards.
J'attends de vôtre impartialité, Monfieur,
que vous voudrez faire part de cet avis au Pu-
blic, pour qu’il ne s’abandonne pas à la fauffe
idée qu’il peut avoir prife de cette affaire.
Par un ancien Gendarme.
REPONSE.
Vous feriés grand plaifir, Monfieur, aux
Amateurs de la vérité de les mettre à même de
détromper le Public abufé fur l’affaire de
Lunéville, & nous ferons au comble de nos
vœux de pouvoir redreffer l'erreur dans la-
quelle font tombés les Rédatteurs des pa-
piers publics. Mais une affertion vague ne dé-
truit pas une impréffion ; il faut des faits bien
circonftanciés, & bien prouvés.
—_———
œuanerais sn.
4/15;
. Pendant mon féjour dans les contrées méri-
ridionales de l’Allemagne , plufieurs de mes
amis m’engagerent à publier divers de mes
ouvrages en mufique, mais la quantité qui pa-
roit tous les jours, m’emptcha de fuivre cette
idée. Jufqu’à préfent l’accucil favorable que
770 VS ur
—acacquee ur CAR as
ace comes etc — _— ="
ar enrare sauge VE ES