fur la Phalange des anciens. La Séance à été ter-
minée par l’éloge de S.'A, S. Monfeigneur le
Prince ErnesT de Hefle-Rothembourg , pro-
noncé par Mr. le Marquis de Luchet.
/ —— ——nqe
recettes ques
REMEDE éprouvé € sûr contre la mor-
fure des-‘chiens envagés &° la maladie ef-
Jfrayante qui en ef} l'effet.
On écrit de France & des frontieres de l’Alle-
magne qu’une quantité prodigieufe de chiens en-
ragés , répandus en Bourgogne , en Franche-
Comté, en Alface , y ont fait des ravages affreux.
Plus de foixante perfones mordues ont expiré
dans les douleurs & les crifes effroyables de cette
maladie terrible. Un pareil nombre a été recueilli
dans les hôpitaux, où l’on traite cesinfortunés de
la maniere que la Médecine croit la feule efficace,
par des frictions mercurieles. La Médecine peut
avoir raifon ; mais comme fouvent des remedes
très-fimples. opérent quelquefois des cures très-
furprenantes , nous nous empreffons de faire con-
noître autant qu’il eft en nous , une recette con-
tre la rage qui nous a été communiquée par une
perfone de haute confidération, & qui en a vu
les plus heureux effets. Son opinion ne peut être
fufpecte ; elle a pour elle l’expérience , un difcer -
nement sûr & un grand amour de l’humanité.
Nous croyons encore que pour que cette recette
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