le malade avec un demi gros de racine de
bryonne en poudre, incorporée avec le miel,
dont on ‘forme quatre bols pour être pris
un de fix en fix heures, dofe qu'on aug-
mente ou qu’on diminue en proportion des
évacuations. Nous obferverons que toute
plante qui a des propriétés énergiques, &
qui eft ou vomitive ou purgative, telle que
là racine de bryonne, n’eft dans ancun cas
un remède indifférent, & exige d’être admi-
niflré par un homme de l’art, car il n’exifte
de fpécifique que dans la main du médecin.
memes cts
—_—_
L'on prie de donner place dans les Affiches
au probléme fnivant reciproque de celui
dans le No. 112 le 3. Août.
Quelqu'un a béfoin de 4000 écus pour faire
un Voyage aux Indes, d'ou il penfe d’être
de rétour aprés huit ans, & à fon retour 1l
lui faudra encore 2000 écus, pour caution,
il Taiffe à fon créancier une hypothéque qui
rapporte autant par an, qu'après les huit an-
nés il fera rembourfer des 4000 écus avec les
intérêts à 5 p. c. & il yaura encore 2000 écus
des révenus de l’hypothéque à lui remettre à
fon arivée des Indes, la queftion eft, combien
cette hypothéque rapporte par année.
Deco cad
—
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