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trés modique fomme de 780000 florins.
Tout aux plus je crois que certe exatlitude
fera tout çe que vos le&eurs exigeront,
Peas cannes
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Mr. Durand: a prononcé, le mois der-
nier , à l'ouverture du Cours de Botanique
de Dijon, un difçours intéreffant fur cctie
Science. Il prouve qu’un des avantages de
l'étude & furtout de celle qui a pour objet
les phénomènes de la nature , eit d'écarter
ces craintes fuperftitieufes, enfantées par l’ig-
norance, & qui deviennent des malheurs
récls.
» Ainfi, dit-il, les pluies de fang, dont
il eft parlé dans les Hiftoriens anciennes,
furent, fnivant les Auteurs, toujours fuivies
de poftes, de guerres affreufes & de morts
fubites. On pent juger', d’après ces témoig-
nages, de la frayeur que ces phénomènes
devaient infpirer,
Henyi IV voulant jouer aux dez avec le
Duc de Guife, on voit paroître tout-à-coup
des gouttes de fang fur la table: on effuie :
elles reparoiffent: on effuie de nouveau, mais
le fang reparut. Le Roi, meilleur guerrier
que Naturalifle, en fut horriblement épou-
vanté. Une pluie de fang jetta pareillement
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