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deux vers qu’on a trouvés écrits {ur l’adreffe
d'un paquet cacheté & adreflé à une de fes
parentes :
Quand on à tout perdu, quand on n’a plus d’efpoir,
La vie ef} un opprobre , & la mort un devoir.
On dit qu’il avoit environ 27 à 28 ans;
qu’il poffédoit fupérieurement la parie du
Génie; parloit avec intelligence des campagnes
d’Amérique, où il s’étoit diflingué; s’énonçoit
avec efprit & facilité, même en Anglois, &
joignoit à ces talens une phyfionomie inté-
reflante. On croit que fon nom eft de Mont-
luiJant, & qu’il étoit de Metz, en Lorraine.
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REMEDE contre la pigire des Coufins.
Parti de Paris dans l’intention de pañer
huit jours à la campagne chez un de mes
amis, j'ai vu l’inftant où, dévoré par les cou-
fins , j'allois repartir , lorfqu’un payfan à qui
je contois mes doléances, me répondit : faites
comme la belettez quand elle eft mordue, elle
va fe frotter à du plantain. Je crus au con-
feil ; j’arrachai une poignée de cette plante,
j'en mis deux ou trois feuilles fur chacune de
mes plaies; dès ce moment les démangeaifons
furent calmées , & les ampoules difparurent.
Le plantain , a-t-il une vertu particulière
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