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Parallele de l'amitié € de l'amour.
O de l’amour aimable fœur!
Bien plus aimable que ton frère!
Ton feu n’a pas fa vive ardeur -
Mais auffi tu n’es pas légère.
Tu fais adoucir tous nos maux,
L’amour nous cause mille allarmes :
Tu n’as aucun de fes défauts
En offrant presque tous fes charmes,
L’amour, cet enfant du desir,
Qui fut nourri par l'espérance,
Affoibli par la jouissance,
A fon tombeau près du plaifir.
Douce amitié, par la constance
Ton feu paisible se nourrit.‘
Le temps, par qui tout s’affoiblie,
Est avec toi d’intelligence,
Et la vieillesse c'embellit.
Tu fais les délices du fage ;
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Le pauvre a droit à tes faveurs;
Ses nœuds font!faits pour tout les fages,
Et tes plaisirs pour tous les eœurs.
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