n CASTOR ET POLLUX,
SCÈNE CINQUIEME.
POLLUX, TÉLAÏRE, CASTOR.
Spartiates,
Pollux, au peuple.
Ces apprêts m’étoient deftinés ,
J’en faifois mon bonheur fuprême;
Que leurs fronts foient couronnés
De ces fleurs, qui dévoient parer mon dia
dême:
Des deux objets que j’aime,
Je fais deux amants fortunés.
Chœur de Spartiates.
Chantons l’éclatante viéloire
D’un héros, qui dompte l’amour,
Si la vertu triomphe en ce beau jour,
L’amour ne perd rien de fa gloire.