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Que ne m'eft-ïlpermis de m'étendre fur les vertus qui font à
vôtre ufage Monfeigneur, le champ fer oit vaste, & furpaffe*
voit de beaucoup les Bornes d'une épitre d'edicatoire, mais je bief
ferais Vôtre délicateffe qui ne peut foujfrir les éloges ; Ce qui prouve
encore mieux combien vous les méritez.
Je me condamne donc au ' fie ne e pour me foumettre â Vôtre
façon de penfer, & vous donner en toute occafion des preuves de
mon obéijfance, ainfi que du tris profond refpeâ, avec le quel je
ferai gloire d'être toute ma vie.
De Vôtre AltefTe Sereniflîme
Monfeigneur
le très humble très obeiffant
& très fournis Serviteur
loucbery Laine,